présentation

28 mai 2013

Alberto Giacometti


Alberto Giacometti, né à Borgonovo (Stampa) dans le Val Bregaglia (dans le canton des Grisons, en Suisse) le 10 octobre 1901, mort à Coire (Suisse) le 11 janvier 1966, est un sculpteur et peintre.

Giacometti et les surréalistes

Tête monumentale Après avoir créé des sculptures « plates » (Femme cuillère, 1926) et « ouvertes » (Homme et Femme, 1928), Giacometti se rapproche des surréalistes et expose aux côtés de Joan Miró et Jean Arp à la galerie Pierre (1930). Il rencontre Louis Aragon, André Breton, Salvador Dalí, André Masson... Il adhère officiellement au mouvement surréaliste un an plus tard. Il y créée diverses œuvres ainsi que des gravures servant d'illustrations pour des livres de René Crevel, André Breton ou Tristan Tzara. Il participe à la rédaction des revues du groupe.

Avec L’Heure des traces ou la Boule suspendue, Giacometti crée le premier « objet à fonctionnement symbolique » (1930) et une sculpture surréaliste au sens premier du mot : L’Objet invisible (1935). Un exemplaire de cette œuvre est d'ailleurs visible au domicile d'André Breton.

Rompant avec les surréalistes (1935), Giacometti garde toutefois des relations amicales avec Michel Leiris et Georges Limbour, et ses sculptures ne cesseront d'être présentées dans les diverses expositions surréalistes.

L'inquiétude, le vide, l'incertitude, la violence, l'horreur sont les caractéristiques des sculptures de cette époque : Femme couchée, Femme égorgée, Cage, Fleur en danger, Objet désagréable à jeter, Table surréaliste, le Palais à quatre heures du matin...


L'homme qui marche
Lors de la déclaration de la Seconde Guerre mondiale, il quitte Paris pour Genève. Ne disposant d'aucun atelier, Giacometti réalise des sculptures « semis » pouvant se ranger dans une grosse boîte d'allumettes. À la Libération, il revient à Paris avec Annette Arm (il l'épouse en 1949), retrouve son atelier, et ses sculptures « semis », sorties de leur boîte, croissent « naturellement ». À la recherche de la « vraie réalité », il dépouille ses personnages, les réduit à l'essentiel, les rend filiformes. Passant des heures dans son atelier à retoucher sans cesse le morceau d'argile auquel il ajoute de la matière pour mieux la creuser et en retirer le superflu

Dans un premier temps, sa statuaire reste figée, hiératique, ses personnages restant debout, pieds joints, le socle faisant partie intégrante de l'œuvre. Il représente également plusieurs fragments isolés du corps humain (bras, jambe...). Parfois, il reprend plusieurs de ses statues pour les juxtaposer dans une même scénographie (Trois hommes qui marchent, 1948, La forêt, 1950).

la suite sur : http://fr.wikipedia.org/wiki/Alberto_Giacometti







 l'homme qui marche marche, sculpture de Giacometti.

27 mai 2013

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 Pour les personnes qui ne me connaissent pas, Je suis aimela , aime la vie, la tolérance, le théâtre , l'écriture , les amis

je suis née à Caen, en Basse-Normandie par accident, ma famille est de l'Orne. je vous ferai connaître un peu ma région si vous le souhaitez.

Je parlerai de peintures, de peintres passés ou présents
Je vous parlerai des pièces ou des spectacles que je vais voir avec mes yeux à moi , c'est à dire avec mon coeur

Je déposerai des textes d'auteurs amis

Il y a tant de choses à dire et vous verrez entre autre que j'ai mis  de côté mon autre blog
 mon coeur chemin de mes mots  mais à ce jour toujours ouvert .  Le nouvel overblog  ne me plaît pas du tout .